Combien de temps dure une période de hockey sur glace ?

Le hockey sur glace est un sport d'équipe rapide qui se joue sur la glace. Chaque équipe porte des patins et a une crosse, et le but est de mettre le palet dans le but de l'adversaire en frappant le palet avec la crosse. L'équipe qui a le plus de buts à la fin d'un match gagne. Le hockey sur glace est un sport de haute intensité qui captive les amateurs du monde entier. De la Ligue Nationale de Hockey (NHL) aux championnats européens, chaque match est une démonstration de vitesse, d'adresse et de stratégie. Mais combien de temps dure un match de hockey sur glace ? Cette question, simple en apparence, cache une complexité liée aux règles du jeu, aux pauses, et aux éventuelles prolongations. Explorons ensemble les différentes facettes de la durée d'un match de hockey sur glace et découvrons ce qui rend ce sport si unique et passionnant.

Structure d'un match de hockey sur glace

Un match de hockey sur glace se divise en trois périodes de vingt minutes chacune, séparées par deux pauses. Chaque période commence par un engagement (bully) au centre de la patinoire. Si le temps de jeu effectif représente 60 minutes, la durée réelle d’une rencontre s’étend sur environ 2h30 à 3h00. Le chronomètre s’arrête automatiquement lors de chaque interruption de jeu : hors-jeu, dégagement interdit (icing), fautes, blessures ou vérifications vidéo.

Qu'est-ce qu'un engagement ?

Le bully correspond à un coup d'envoi ou une remise en jeu au football. Après une interruption, l'arbitre remet le palet en jeu sur l'un des points d'engagement rouge. Après un but, au début d'un nouveau tiers temps ou bien lors d'un "icing" (voir plus bas), le palet est remis en jeu sur le point central d'engagement (point bleu). Un joueur de chaque équipe essaye de récupérer le palet pour son camp.

La patinoire

Le hockey sur glace se joue sur une patinoire qui est entourée de balustrades et de vitres de protection. En France, la surface de jeu mesure 60 x 30 mètres, ce qui représente une surface à la fois plus longue et plus large que les 40 x 20 mètres habituels d'un terrain de handball, basket-ball, etc. Deux types de dimensions existent aujourd’hui dans le hockey sur glace : les 56 m x 26 m appelées « petites glaces », et les 60 m x 30 m, appelées « grandes glaces ». Chamonix détient de son côté une 60 m x 30 m.

La glace est marquée par des sortes de zones qui traversent la patinoire. C'est ce qu'on appelle les lignes de but (les deux "lignes d'arrêt" dans chaque extrémité du but, les lignes bleues et la ligne centrale, qui est rouge). La patinoire est divisée en 3 zones : la zone d’attaque, la zone neutre (au milieu) et la zone de défense. La zone de défense est comprise entre la balustrade derrière le but défendu par l’équipe et la première ligne bleue. Cette zone comprend également une ligne rouge fine, appelée ligne de but, sur laquelle est placé le but à défendre. La zone neutre, quant à elle, est la partie de la patinoire comprise entre les deux lignes bleues. Au milieu de la zone, une ligne rouge aussi épaisse que les lignes bleues symbolise le milieu de la glace et est appelée la ligne rouge centrale. Enfin, la zone d’attaque va de la deuxième ligne bleue à la bande derrière le but défendu par l’équipe adverse.

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Une patinoire de hockey sur glace comporte neuf cercles de mise-en-jeu où le jeu peut reprendre après un arrêt de jeu. Un cercle de mis-en-jeu est marqué en rouge en plus du centre de la patinoire, qui est bleu. La patinoire comporte deux buts - un à chaque extrémité - qui sont placés au milieu de la ligne. Ces buts sont "fixés" dans la glace, mais peuvent être en cas de besoin. Le gardien de but se tient dans une cage de but bleu clair, qui est la cage où il peut saisir le palet avec le gant. Au hockey sur glace, il est possible de jouer derrière la cage du gardien. La surface de but est délimitée par une zone bleu clair et un demi-cercle rouge. Le territoire de l'arbitre est délimité lui aussi par un demi-cercle rouge. Sur toute la surface se trouvent des points, certains entourés par des cercles. Ces derniers sont appelés points d'engagement.

L'équipement

Sur la glace, une équipe se compose d’un gardien et cinq joueurs. Sur la feuille de match, ce sont 18 joueurs et 2 gardiens (au maximum) qui composent l’effectif. Les équipes peuvent réaliser autant de changements de joueurs qu’elles le souhaitent.

Les joueurs de champ ont une crosse, un casque (avec une grille/visière pour protéger le visage de la crosse/du palet), des gants, des patins et d'autres équipements de protection portés sous l'uniforme de l'équipe. Le gardien de but est équipé à peu près de la même façon, mais il porte également une épaulière. Le gardien de but utilise un équipement de protection adapté à son poste : casque, plastron, coquille, guêtres, sabots, coudières, gants et short renforcé.

Le palet utilisé est noir, il est donc facile à repérer sur une glace blanche. Le matériau est du caoutchouc, qui a été vulcanisé, et mesure 7,62 cm de diamètre et 2,54 cm d'épaisseur. Normalement, le palet pèse entre 156 et 170 grammes - un poids qui lui permet de voler en l'air lorsqu'il est tiré.

L'un des équipements les plus importants du jeu est, bien sûr, la crosse. Pour éviter les casses, la crosse de hockey sur glace est en bois pour les jeunes joueurs, mais au hockey sur glace professionnel, elle est souvent en composite ou en fibre de carbone. La crosse doit avoir des bords courbés. la crosse se courbe pour que vous puissiez tirer sur le palet. Contrairement au floorball, le hockey sur glace ne nécessite pas nécessairement de jouer avec du ruban adhésif sur le manche de la crosse, car l'on porte des gants. La longueur optimale d'une crosse doit aller du sol jusqu'à un point situé entre votre menton et votre nez. Il est important que la crosse ne soit pas trop longue au point de rendre le tir difficile, mais pas trop courte au point de vous faire mal au dos en vous penchant. Cependant, chaque joueur peut avoir des préférences différentes en matière de longueur. Surtout en fonction de la position à laquelle il joue. Un paramètre important dans le choix d'une crosse est le flex, qui est un terme désignant le degré de flexibilité et de rigidité dont est dotée la crosse. Un flex élevé équivaut à une crosse rigide, tandis qu'un flex faible vous donne une crosse qui plie beaucoup. En pratique, le flex affecte la puissance que vous pouvez obtenir dans votre frappe (un flex élevé équivaut à un coup dur). Si vous débutez dans le hockey sur glace, il est conseillé de commencer avec une crosse peu flexible afin d'acquérir une bonne sensation du palet. Le joueur ne peut toucher la balle avec aucune partie de son corps.

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Les arrêts de jeu

Un arrêt de jeu arrête le temps, et le jeu doit toujours reprendre par une mise-en-jeu. Normalement, le palet est libéré à partir du point de mise-en-jeu le plus proche sur la patinoire où il se trouvait avant qu'il ne passe par-dessus la bande ou qu'une faute ne soit commise par un joueur. Toutefois, il existe un certain nombre d'exceptions à cette règle. Une autre des exceptions importantes concerne les pénalités. Ici, l'équipe fautive est pénalisée par le fait que la mise en jeu a lieu dans l'un des deux points de sa propre zone défensive. Sauf si la pénalité est donnée en relation avec un but de l'adversaire, après quoi le palet est mis en jeu depuis le rond central. En cas de blessure accompagnant naturellement un arrêt de jeu, l'arbitre détermine l'endroit de la glace où le palet doit être remis en jeu. Cela dépend de son emplacement au moment de l'arrêt de jeu et de l'équipe qui était en possession du palet - et non de l'endroit où le joueur a été blessé sur la glace. Si l'équipe du joueur blessé était en possession du palet dans sa zone d'attaque, la mise au jeu a lieu dans l'un des cercles situés à l'extérieur de la ligne bleue dans cette même zone d'attaque. Toutefois, s'ils l'ont dans la zone neutre, la mise-en-jeu est effectuée au cercle de la zone neutre le plus proche de l'arrêt de jeu.

Icing

Si le palet est tiré depuis la moitié de la patinoire derrière la ligne de but de l'adversaire, l'icing est prononcé, à moins que l'équipe ne prenne possession du palet avant l'adversaire. Cette règle a été inventée pour empêcher les temps morts parce qu'un icing entraîne une mise-en-jeu dans la propre zone défensive en faveur de l'adversaire. En France, l'hybrid icing (dégagement interdit) a été introduit. Il s'agit d'une infraction effectuée avant que le palet ait effectivement franchi la ligne de but et que l'adversaire semble vouloir l'atteindre en premier. Alors qu'un icing est toujours en cours, l'arbitre de ligne doit maintenant faire deux jugements en une fraction de seconde : le palet a-t-il suffisamment de vitesse pour franchir la ligne de but ? Et si c'est le cas, le joueur qui défend ou celui qui attaque doit-il atteindre le palet en premier ? Les décisions doivent être prises et tranchées avant que l'attaquant n'atteigne le cercle de mise-en-jeu le plus proche de la ligne de but. S'il s'agit du joueur attaquant, le jeu continue, et s'il s'agit du joueur défendant, l'icing est décidé. L'icing : ou dégagement interdit : si un joueur tire ou dévie le palet hors de sa zone de défense et jusqu'au delà de la ligne de but de l'équipe adverse, l'arbitre siffle un icing. Le jeu reprend avec un bully dans la zone défensive de l'équipe sanctionnée. Si une équipe tente un icing, elle n'aura pas le droit au changement de joueurs lors de l'interruption de jeu suivante.

Hors-jeu

Lorsqu'une équipe attaque, le palet doit d'abord traverser toute la ligne bleue de la zone d'attaque. Cela signifie que le joueur en possession du palet et ses coéquipiers doivent chronométrer leurs courses de manière à remplir la zone après que le palet a franchi la ligne. Que ce soit lors d'une passe à un joueur qui est déjà en position de hors-jeu de l'autre côté de la ligne bleue, mais aussi lorsque vous poussez vous-même le palet vers l'avant, vous devez être le premier à entrer en zone d'attaque. Bien que le hors-jeu soit principalement régi dans les situations où le palet est déplacé de la zone défensive/neutre vers la zone offensive, un joueur peut être en attente de hors-jeu dans la zone offensive lorsqu'il y gagne le palet. Décision de hors-jeu car le coéquipier entre en zone offensive avant le joueur meneur du palet (orange). Un hors-jeu entraîne généralement une mise-en-jeu en zone médiane. Le départ du palet depuis le milieu de la patinoire ou l'un des quatre autres points de mise-en-jeu de la zone neutre dépend du fait que la passe provenait de la zone défensive ou de la zone neutre. Au hockey sur glace il existe aussi le concept de hors-jeu. Un hors-jeu se produit lorsqu'au moins un joueur de l'équipe attaquante se trouve dans le troisième tiers avant que le palet n'ait franchi la ligne bleue. Un joueur qui attaque n’a pas le droit de précéder le palet dans la zone d’attaque (ligne bleue).

Pénalités

Afin de rendre le jeu le plus fluide possible, le jeu n'est jamais arrêté pour un simple avertissement comme au football. Si une faute est commise, elle donne lieu à un pénalité. La durée peut varier de 2, 5 ou 10 minutes, voire le match entier, et l'arbitre signale le type de pénalité à donner. Une pénalité est accordée dès que l'équipe fautive prend possession du palet après que la faute a été commise. L'arbitre signale alors une pénalité retardée. Si l'équipe adverse conserve le palet, elle a donc la possibilité d'éliminer le gardien, d'insérer un marqueur supplémentaire et de jouer ainsi la prolongation jusqu'à ce qu'elle perd le contrôle du palet et que la véritable période de jeu commence. Si un but est marqué pendant l'attente d'une pénalité, celui-ci est annulé. Si un double avertissement est commis, la première faute est annulée. Cependant, cette règle ne s'applique qu'aux pénalités habituelles de 2 minutes - une pénalité de 5 minutes, une pénalité pour comportement antisportif et une pénalité de match doivent s'appliquer même si un but est marqué pendant que la pénalité est en cours. La durée d'une exclusion est déterminée à la fois par le type de faute et par la gravité/l'imprudence avec laquelle elle a été commise. Si l'équipe en avantage numérique marque pendant une pénalité de 2 minutes, la pénalité est annulée et l'équipe adverse doit remettre le joueur en jeu. Une pénalité en prolongation ou immédiatement avant la prolongation entraîne une situation de 4 contre 3 dès le début de la prolongation, car le jeu est normalement à 4 contre 4 (joueurs de champ). Si une équipe reçoit deux pénalités en prolongation, les adversaires doivent remettre le 5e marqueur sur le terrain, car il n'est pas possible de jouer avec moins de 3 marqueurs dans une équipe - même en temps normal. En Ligue nationale de hockey ou LNH (NHL en anglais) les contacts physiques sont d'ailleurs plus brutaux qu'en Europe. Afin d'éviter que la situation ne dégénère complètement, il existe, comme pour tout autre sport, des règles fixes.

Charges avec la crosse, contre la bande, visant la tête, charges dans le dos, charges incorrectes, dureté (faute entraînant blessure), etc…… sont sanctionnées par des pénalités. Le joueur quitte donc la glace pour le banc des pénalités pour une durée minimum de 2 minutes.

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  • Les pénalités mineures : 2 mn de prison. Le joueur n’est pas remplacé sur la glace. Son équipe joue donc à 4, voire à 3 (jamais moins de 3) en plus du gardien.
  • Les pénalités majeures : 5 mn de prison. Le joueur n’est pas remplacé sur la glace. Elles sanctionnent les fautes les plus violentes. 2 pénalités majeures à un même joueur entraîne son expulsion définitive du match.
  • Les pénalités de méconduite : 10 mn de prison.
  • Les pénalités de match : expulsion immédiate.

Le penalty : le tir de pénalité : le joueur ayant subi la faute peut tenter un but en remontant seul vers la cage adverse où seul le gardien de l'équipe adverse est en mesure de défendre le but. L'arbitre siffle un penalty lorsqu'une réelle chance de but a été empêchée par une faute de l'équipe adverse. C'est généralement le cas lorsqu'un attaquant remonte seul vers le but adverse et est stoppé de manière injuste. Un penalty ne peut néanmoins être sifflé que si les conditions suivantes sont réunies :

  • la faute n'a pas été commise dans la zone de défense de l'équipe victime.
  • le joueur ayant subi la faute était en possession du palet
  • le joueur a été attaqué par derrière
  • une réelle chance de but a été perdue
  • aucun autre défenseur se trouvait entre le joueur ayant subi la faute et le gardien de but adverse

L'arbitre peut également siffler un penalty si une crosse a été lancée par un joueur. Les règles d'execution de penalty sont les suivantes :

  • seul le joueur victime de la faute peut procéder au tir de pénalité sauf si il a été blessé lors de la faute.

Les entractes

La pause entre les périodes d'un match de hockey sur glace est communément appelée l'entracte. Chaque entracte dure quinze minutes, permettant aux joueurs de récupérer et aux équipes de réviser leurs stratégies. Les pauses entre périodes durent exactement 15 minutes chacune, soit 30 minutes supplémentaires. Durant ces intermèdes, la glace subit un resurfaçage complet. La Zamboni retire la fine couche de copeaux accumulée et dépose une nouvelle pellicule d’eau qui gèle instantanément. Côté vestiaires, les entraîneurs ajustent leurs tactiques en analysant les statistiques de la période écoulée : pourcentage de réussite en supériorité numérique, nombre de tirs cadrés, temps de possession par zone. Ces pauses permettent également aux organismes de récupérer de l’effort intense.

Prolongations et tirs au but

En cas d'égalité après trois périodes, le gagnant doit être décidé en prolongation (durée différente selon les règles du tournoi). Le premier but décide du match. En cas de prolongation, chaque équipe joue avec quatre joueurs de champ et un gardien de but. En cas de match nul après prolongation (sans but), le match est décidé par une séance de tirs au but (trois tirs par équipe). Le vainqueur d'un match reçoit normalement 3 points, mais seulement 2 points si le match est décidé en prolongation ou aux tirs au but.

En saison régulière, la plupart des ligues appliquent le système de la “mort subite” : une prolongation de 5 minutes à 3 contre 3. Cette formule spectaculaire, avec moins de joueurs sur la glace, favorise les actions offensives et limite les matches nuls. Si aucune équipe ne parvient à rompre l’équilibre, une séance de tirs au but départage les protagonistes. Trois tireurs de chaque côté s’élancent seuls face au gardien adverse. Les séries éliminatoires adoptent une approche différente : les prolongations se déroulent en format 5 contre 5, par périodes complètes de 20 minutes, jusqu’à ce qu’un but décisif soit inscrit.

Overtime : prolongations : en cas d'égalité à la fin du temps de jeu règlementaire une prolongation en mort subite de 5 minutes peut être jouée pour déterminer le vainqueur. Seuls 4 joueurs sont sur la glace. Si un but est marqué, le match est terminé. Dans le cas contraire, le vainqueur doit être désigné avec une séance de tirs de pénalité appelés également « tirs de fusillade ».

Le format des prolongations révèle toute la philosophie du hockey moderne. Cette évolution récente (généralisée vers 2015) a révolutionné l’approche tactique. Les entraîneurs privilégient leurs patineurs les plus techniques et les plus rapides, capables d’exploiter les espaces libérés. Les tirs au but suivent un protocole précis : le tireur part de la ligne centrale, dispose de tout le temps nécessaire pour s’approcher du but, mais ne peut tenter qu’un seul tir. Aucun rebond n’est autorisé.

Le plus long match de hockey sur glace

Le plus long match de hockey sur glace jamais enregistré a eu lieu le 24 mars 1936 lors des séries éliminatoires de la NHL entre les Detroit Red Wings et les Montreal Maroons. Ce match historique s'est prolongé sur six périodes de prolongation, totalisant 176 minutes et 30 secondes de jeu. Mud Bruneteau, un joueur des Red Wings, a finalement marqué le but décisif, mettant fin à une rencontre épuisante tant pour les joueurs que pour les spectateurs. Ce record reste inégalé à ce jour et souligne l'endurance et la détermination nécessaires pour jouer au plus haut niveau du hockey sur glace.

Le hockey sur glace en France

En France, le hockey sur glace est représenté par la Ligue Magnus, le championnat élite. Les matchs de la Ligue Magnus suivent les mêmes règles internationales, avec trois périodes de 20 minutes, des entractes de 15 minutes, et des prolongations si nécessaire. En France, la Ligue Magnus applique ces règles internationales, offrant aux spectateurs français le même spectacle que leurs homologues nord-américains ou européens. Le hockey sur glace en France a gagné en popularité grâce aux performances des équipes nationales et aux clubs compétitifs. La Fédération Française de Hockey sur Glace (FFHG) organise et supervise les compétitions nationales, promouvant le développement de ce sport. Les matchs sont souvent diffusés sur des chaînes sportives, attirant un public de plus en plus large.

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